Une lettre de Henri Burin des Roziers.
Claude Billot, un ami de Henri Burin des Roziers, nous transmet une lettre écrite au Brésil en 1980 dans laquelle « l’avocat des sans terre » exprime une grande humanité à l’égard des femmes prostituées, mères de famille, obligée de vendre leur corps pour nourrir leur famille.