Quand Jacques Toubon met les points sur les i des droits fondamentaux et renvoie dans les cordes des députés de la République en marche enlisés dans la caricature

« Il n’y a pas de caricature à proclamer les droits fondamentaux ! » « Les droits fondamentaux, ce n’est pas dans l’éther. Les droits fondamentaux, c’est sur les trottoirs de la Vilette.

Qui aurait pensé que ce Chiraquien de la première heure, secrétaire général du RPR, qui a écrit dans « contrepoint », la revue du « Club de l’Horloge » situé idéologiquement entre la droite et l’extrême droite et qui avait appelé à un rapprochement avec le Front National, puisse défendre avec une telle conviction la défense de tout citoyen face à la politique répressive et inhumaine de l’actuel gouvernement.

La sincérité de ses propos ne peuvent souffrir d’un quelconque tromperie à l’allure chafouine.

Faut-il imaginer qu’un tel homme puisse évoluer ainsi vers une humanité assumée après avoir épousé les pires alliances idéologiques avec l’extrême droite.

Cela nous réconcilie avec une espèce humaine tombée au plus bas.

 

Auteur: j.c

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