Depuis de nombreuses années, le site « PIÈCES ET MAIN D’ŒUVRE », (PMO) « site de bricolage pour le construction d’un esprit critique grenoblois », nous alerte sur la connectivité de l’ensemble de notre société.
La dernière découverte : A l’occasion de l’ouverture des Mondiaux de ski alpin à Courchevel et Méribel, « Quelques dizaines de chanceux peuvent […] tester la dernière innovation du fabricant français de skis Rossignol . »
Devinez laquelle. Oui, des skis connectés.
Devinez laquelle. Oui, des skis connectés.
« A l’époque, certains souriaient quand nous égrenions les malfaisances à venir : le frigo intelligent, les lunettes connectées, la voiture, etc. Nous étions pessimistes – On n’est pas si stupides, pour se faire refiler des gadgets pareils. En fait, si « explique PMO
Des skis connectés, pour quoi faire ?
« Connaître la puissance d’appui du skieurs, l’état d’usure du matériel, le nombre de kilomètres parcourus ou encore la localisation des skis : de telles données sont accessibles grâce à des capteurs posé sur les planches de ski ou de snowboard.
Avec le projet smart Ski Expérien, Rossignol et le CEA travaillent ensemble pour « offrir au amateurs de glisse une expérience inédite durant leur pratique. »
Wauquiez met 500 000 € dans le projet
Une « innovation de rupture » due au Commissariat à l’énergie atomique (!), à Rossignol et à la start up Lumiplan, et financée à 50 % par la Région (soit 500 000 € sur le million consacré à la R&D du projet). « On dirait une caricature d’histoire grenopolitaine, mais la caricature ne cesse de s’auto-caricaturer. »
