Marion Maréchal-Le Pen, une militante très proche des groupuscules d’extrême droite, avec preuves à l’appui.
Le Front National essaie par tous les moyens médiatiques – complaisamment relayés par la presse marchande – de se défaire de cette tare génétique que constitue sa matrice idéologique d’extrême droite.
Mais il est difficile d’effacer d’un simple revers de communication des preuves évidentes de leurs origines d’extrême droite qui leur collent à la peau désespérément.
Les derniers rebondissements comme le désaveu de Marine Le Pen aux propos de son père sur les chambres à gaz ou les affirmations de Marion Maréchal-Le Pen se déclarant de droite et non pas d’extrême droite, en sont les preuves évidentes.
Pour Marine Le Pen, avoir accepté de participer le 27 janvier 2012 en Autriche au bal d’une organisation d’extrême droite – voire franchement néo-nazie – le jour de l’anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz, en est une preuve flagrante.
De même, concernant la future candidate à la présidence de la région PACA les preuves sont évidentes.
Vous pourrez vous en rendre compte en vous reportant à l’article de librinfo74.fr paru le 25 mars 2014 : Dominique Martin du FN se fâche quand on qualifie son parti d’extrême droite