Nous publions un des cartons remis à un jeune arrivé le 12 novembre à la gare d’Annecy. Il est convoqué le 10 décembre pour une mise à l’abri « éventuelle ». Le nom a été effacé.
Si des familles de bonne volonté ne l’accueillent pas chez elles, ce jeune serait contraint à dormir dans la rue, ne pouvant prétendre au 115 comme mineur, alors que le Conseil Départemental a obligation, selon la loi, à le protéger et à l’héberger.