Sarkozy, la « teigne ».
« Quand les chefs d’états étrangers sont descendus de leurs cars bd Voltaire pour prendre place dans le défilé, on a vu pendant un bon moment les agents du protocole s’activer pour « ranger » chacun selon l’ordre défini. » Alors que le protocole l’avait placé au second rang, on a retrouvé quelques minutes seulement après le départ, un Netaniaou, serré de près par ses deux gardes du corps, s’étant propulsé au tout premier rang qu’il n’a plus quitté, parfois même plus avancé que Hollande, saluant à grands moulinets les gens sur les balcons comme si ceux-ci étaient là spécialement pour lui. L’indécence n’a pas de limites. »
A ce moment-là, Nethaniaou était au deuxième rang avec Nicolas Sarkozy, alors qu’Abbas était au premier, à une place de Hollande. Quelques minutes après à peine, Netanyahu serré de près par ses deux gardes du corps et Sarko se retrouve tout devant, entre MBK (un noir avec lequel il s’est retrouvé bras desssus-bras dessous) et Junker, reléguant la maire de Paris. Sarko a eu la décence (ou la prudence, ou ce qu’on voudra) de reculer à sa place, mais N. est resté tout le reste du temps au premier rang, parfois même plus avancé que Hollande, saluant à grands moulinets les gens sur les balcons comme si ceux-ci étaient là spécialement pour lui. L’indécence n’a pas de limites. »
Paule Aubert
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