D’abord des mots qui se veulent d’abord apaisants, puis, monsieur Djelab conteste la liberté pédagogique des enseignants dans le choix de leur support de cours et refuse, par là-même, de permettre aux élèves d’avoir avec leur enseignant réflexion sur la liberté de la presse. Il réclame donc une autocensure des enseignants. Ce type de pression est intolérable. C’est ce qui a conduit au drame au collège de Conflans-Sainte-Honorine.
22 octobre 2020
D’abord des mots qui se veulent d’abord apaisants, puis, monsieur Djelab conteste la liberté pédagogique des enseignants dans le choix de leur support de cours et refuse, par là-même, de permettre aux élèves d’avoir avec leur enseignant réflexion sur la liberté de la presse. Il réclame donc une autocensure des enseignants. Ce type de pression est intolérable. C’est ce qui a conduit au drame au collège de Conflans-Sainte-Honorine.