Nouvelles manifestations contre la réforme de retraites mercredi 29 janvier

Mis à jour le 28 janvier à 10h16

Dans son tract, la CGT explique que « le gouvernement a réussi un fait rare ! AXA, François Fillon ou encore le quotidien libéral l’Opinion sont désormais d’accord avec la CGT. » Tous confirment leurs analyses : « la réforme des retraites va indéniablement faire baisser les pensions. »

Pour la CGT, l’argument est imparable et « mathématique » : « En plafonnant les recettes du système de retraites et les dépenses à 14% du PIB, le gouvernement institutionnalise la baisse des pensions. Ne pas augmenter la part dévolue aux retraites alors que la part des 65 ans et plus devrait augmenter de plus de 40% d’ici 2070 revient à une baisse équivalente des pensions. »

 

Auteur: librinfo74

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2 commentaires

  1. NON seulement faire baisser les pensions (un non-dit enfin reconnu, qu’en dit la macronie ?)
    mais encore ipso-facto favoriser, que dis-je ? inciter à détourner du salaire vers de la rente financière auprès des gestionnaires de capitaux : ‘votre argent m’intéresse’, la monnaie passant de sa nature de moyen d’échange de travaux en une ressource comme (presqu’) une autre.

    Coup double donc pour le capitaliste :
    – affaiblir les gueux en augmentant leur dépendance aux prêts (venez vous mettre sous notre coupe petits emprunteurs, un petit accident et gloup on prend tout tout de suite, sinon c’est juste un peu plus long …)
    – recycler plus rapidement du salaire (et revenus de riches) vers des fonds de pensions gourmands.

    Ah les braves gens !

    Tout cela grâce à une imposture en forme de coup d’État :
    https://www.vududroit.com/2020/01/emmanuel-macron-illegalite-illegitimite-et-imposture/

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  2. Reconnaissons une chose :
    ce fait : ce projet de loi entrainerait une baisse des pensions, A MIS DES MOIS à être connu de tous.

    La première cause est le non dévoilement des modalités de mise en place de ce projet de loi par nos gouvernants : une imposture que je n’ose qualifier pour espérer rester libre,
    La seconde est la quasi disparition des contre-pouvoirs institutionnels (légitimes) à discuter de cela AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS. C’est la destruction programmée des syndicats depuis 40 ans aboutie et la quasi totale prédation médiatique (merci aux méritoires tacherons de ce site).

    Rappel pénible (lourdingue et trivial) : tout ceci n’est (encore) possible que grâce à nos votes !

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