librinfo vous invite au débat qu’il organise samedi 29 février sur les municipales à Annecy

Samedi 29 février, vous êtes cordialement invités à 18H30 salle des Eaux et Forêts* au débat que nous organisons entre les représentants des listes déposées en Préfecture pour les municipales à Annecy.

Depuis plusieurs semaines vous avez pu découvrir les différents programmes présentés par ces listes à travers leurs réunions publiques qui sont essentiellement des actions de communication et de propagande.

Deux débats ont été organisés. Le premier par la jeune chambre économique le 17 février avec la participation de l’Essor et de H2O. Le deuxième par les médias 8 Mont Blanc et le Dauphiné Libéré le 18 février à Bonlieu.

Notre objectif n’est pas de reproduire les mêmes évènements bien formatés et conventionnels où les échanges entre les candidats restent limités.

Notre ambition est d’aborder des questions concrètes sur des projets précis qui font débat pour qu’apparaissent les différents positionnements de chaque liste afin que les électeurs présents puissent voter en connaissance de cause.

Alors à Samedi

Venez nombreux

Le déplacement en vaudra la peine

 

  • salle des Eaux et Forêts, 113 boulevard du Fier à Annecy (angle avenue de Genève et boulevard du fier)

Auteur: librinfo74

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3 commentaires

  1. Sauf erreur ou omission, aucune liste n’invoque les dotations d’Etat et la nature de cet Etat, à savoir, selon Lénine, » un instrument de domination d’une classe sur l’autre « . Ne pas mettre en cause les dotations, leur importance et leurs quantités, c’est accepter l’austérité, ce terme répété comme un leitmotiv à longueur d’antennes et de presse. Pour assurer les financements sociaux, il faut faire rentrer des impôts, notamment de la part de ceux qui gagnent le plus d’argent, et comme ce n’est pas le rôle de Macron et de son équipe, ne pas dénoncer cette situation, c’est l’accepter, ou l’encourager. « Qui ne dit mot, consent ».

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  2. « Fameux » débat ou quelques secondes après l’énoncé du protocole qui devait le régir, il était déjà bafoué. Certes, Jean Luc Rigaut était clairement là pour « mettre la pagaille » dans cet échange. Mais les organisateurs n’ont clairement pas été à la hauteur, incapables qu’ils étaient de faire respecter les règles. De plus, leurs multiples interventions pour exprimer leur avis personnels donnent une bien piètre image de ce que devrait être une presse libre. Confondre l’organisation d’un débat et l’écriture d’un éditorial me parait peu professionnel ! J’ai peu de doute sur le fait que cet avis négatif ne sera évidemment pas publié, la presse citoyenne est libre de ne pas publier ce qui la dérange !

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    • Monsieur,

      Contrairement à ce que vous présupposez en écrivant ”que cet avis négatif ne sera évidemment pas publié, la presse citoyenne est libre de ne pas publier ce qui la dérange !”, nous publions votre commentaire pour la simple raison qu’il n’est ni injurieux, ni diffamatoire. Notre association AAPLE (Association annécienne pour la promotion de la liberté d’expression), éditrice de notre média ”librinfo” est là pour vous le rappeler.

      Tout d’abord, nous partageons votre point de vue quand vous écrivez : ”Certes, Jean Luc Rigaut était clairement là pour « mettre la pagaille » dans cet échange”. Nous lui avons d’ailleurs écrit aussitôt pour lui demander qu’il s’explique sur ce comportement. Nous n’avons, à ce jour, reçu aucune réponse.

      Par contre nous considérons que vous exprimez une contre-vérité quand vous écrivez : ”leurs multiples interventions (les organisateurs NDLR) pour exprimer leur avis personnels donnent une bien piètre image de ce que devrait être une presse libre. Confondre l’organisation d’un débat et l’écriture d’un éditorial me parait peu professionnel !”

      Vous confondez les médias dominants – dont la dépendance avec les sphères économiques et politiques sont réels à des degrés divers – et notre média qui se situe comme un contre-pouvoir (quels que soient les pouvoirs, qu’ils soient économiques, politiques ou même associatifs), ce qui devrait être le fondement éditorial de tout média qui se respecte.
      Aussi, lors d’un débat que nous organisons, notre droit, et même dirions-nous notre devoir, est d’exprimer des avis contradictoires aux éléments de propagande diffusés abondamment par le vecteur de leur communication.
      Les citoyens ne disposent pas des énormes moyens de communication utilisés pour les asservir par les différents pouvoirs .

      Contrairement à ce que vous vous permettez d’affirmer, ce n’est pas une ”piètre image ” que nous donnons, mais au contraire une image que les citoyens apprécient quand nos médias ”cassent” la logique de propagande distillée par tous les pouvoirs détenteurs de moyens colossaux de communication.

      Malheureusement, nous ne disposons pas des moyens nécessaires par le choix de notre média d’être libre d’accès et sans publicité.

      Pourtant, nous estimons remplir une mission de service public au service des citoyens et pour la défense de la Démocratie.
      Pour cela, nous demandons le soutien financier de la puissance publique pour garantir le pluralisme de la presse, comme cela avait été instauré par le programme du conseil de la résistance, qui avait comme objectif de soustraire l’information à ”l’influence des puissances d’argent”.

      Je pense que vous êtes capable de mesurer où nous en sommes aujourd’hui.

      Cordialement

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