Depuis toujours, Carrefour commercialise, en toute irrégularité, des produits israéliens fabriqués dans les territoires palestiniens occupés, malgré les innombrables pressions pour faire cesser ce commerce illégal. Dès 2019, la Cour de Justice de l’Union européenne, à Luxembourg, a décidé que l’origine des produits devait être indiquée pour ne pas induire en erreur les consommateurs, en leur laissant penser que cette denrée alimentaire a un pays d’origine ou un lieu de provenance différent de son pays d’origine ou de son lieu de provenance réel ».
Le boycott des produits israéliens a comme slogan « Non à l’occupation, non à l’apartheid, boycott des produits israéliens »
Un commerce dénoncé par de nombreuses autorités internationales. Contrairement à ce que veulent affirmer celles et ceux qui soutiennent l’État israélien, cette campagne n’est pas antisémite et n’est pas dirigée contre le peuple israélien. Elle dénonce l’occupation illégale des territoires palestiniens occupés par la force par l’État d’Israël dirigé par un gouvernement suus pression des mouvements religieux d’extrême droite.
La complicité de Carrefour, géant français de la distribution a pris, ces dernières années, diverses formes : accord avec des sociétés israéliennes actrices directes de la colonisation, vente de produits Carrefour dans les colonies, vente de produits israéliens dans ses magasins en France et, récemment, distribution de colis aux soldats de l’armée israélienne.
L’AFPS, avec ses partenaires, est à l’initiative de la dénonciation de ces scandales et d’une campagne de Désinvestissement en direction du PDG de Carrefour.
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