L’association BonSens avertit les parlementaires par lettre recommandée sur les conséquences d’un vote en faveur de l’obligation vaccinale et du passe

Nous publions la lettre recommandée avec accusé de réception envoyée le 16 juillet à chaque parlementaire par l’association BonSens.org.

Cette association note une contradiction dans les déclarations du ministre de la santé, Olivier Véran. Monsieur VÉRAN « incite » nos concitoyens à se faire vacciner alors qu’auprès de la Haute juridiction administrative, lors de deux litiges au moins, il remet en cause l’efficacité de ces vaccins.

Cette association affirme que « les vaccins n’empêchent ni d’être contaminés / contaminants, ni les formes graves, ni les décès. »

 

Mesdames et Messieurs les Députés et Sénateurs,

Ne pas pouvoir accéder à une information indépendante sur les médicaments est la première des pauvretés, des inégalités et des vulnérabilités. Toute personne a le droit à une information claire, loyale et appropriée.

Cette information conditionne la validité du consentement libre et éclairé qui est un principe fondamentalde notre droit.

Nier cette autonomie revient alors à porter atteinte à la dignité de la personne humaine. Or, s’agissant des vaccins contre la Covid-19, la communication officielle, en direction du public, sur le rapport bénéfice/risque de ces médicaments heurte plusieurs dispositions de la loi (au sens large), dont le Code de la Santé publique.

Le discours du Ministre des solidarités et de la santé, Monsieur VÉRAN, est en décalage avec le contenu de ses écritures enregistrées par le Conseil d’État lors des récents recours introduits par des citoyens français « vaccinés ». Publiquement, Monsieur VÉRAN « incite » nos concitoyens à se faire vacciner alors qu’auprès de la Haute juridiction administrative, lors de deux litiges au moins, il remet en cause l’efficacité de ces vaccins.

En tant que Docteur en médecine, il ne peut ignorer que de tels propos sont de nature à vicier le consentement.

Ce constat est particulièrement inquiétant, voire dangereux. Cela l’est d’autant plus que ces produits ne bénéficient que d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) « conditionnelle » dont la durée n’excède pas un an.  Les essais cliniques de phase 3 sont toujours en cours consacrant le caractère expérimental de cette vaccination inédite dans l’Histoire.

Le 12 juillet 2021, le discours du Président de la République est venu aggraver la situation. Il vous appelle à voter pour un Passe sanitaire davantage orienté vers un Passe vaccinal, y compris pour satisfaire à vos simples besoins essentiels comme faire vos courses en disant que le vaccin « protégeait ». Ceci est biaisé. Les preuves du contraire existent. Les vaccins n’empêchent ni d’être contaminés / contaminants, ni les formes graves, ni les décès.

Cette Loi ne peut donc être votée. Elle est disproportionnée face à la situation.

La peur des représailles, générée par la forme et le fond de cette allocution, aurait conduit, le soir même, de nombreuses personnes à prendre rendez-vous pour s’inoculer ces vaccins dont le rapport bénéfice/risque est peu connu.

La situation est donc urgente.

Le présent courrier constitue une information actualisée à l’attention de chaque  représentant élu au plan national que chacun doit prendre en considération dans l’examen à venir d’un texte crucial présenté dans l’urgence.

Ceci afin qu’un scandale de santé publique d’une ampleur inédite ne puisse éclater dans quelques années en France où les mémoires demeurent marquées et meurtries par plusieurs affaires dont l’affaire dite du sang contaminé et le traitement judiciaire qui lui fut réservé « responsable, mais pas coupable ».

Sur l’incitation en faveur de la vaccination de Monsieur le Ministre Olivier VERAN, rendre obligatoire des vaccins qui ne bénéficient actuellement que d’une autorisation temporaire d’utilisation dérogatoire fait courir non seulement un risque pour la santé des personnes que l’on voudrait ainsi forcer à se faire vacciner, mais aussi un risque juridique à ceux et celles qui participeraient à une contrainte inacceptable qui n’existe d’ailleurs pas dans la plupart des pays du monde et notamment au sein même de l’Union Européenne.

Pour que cette fois il ne soit plus possible de dire : «nous ne savions pas ».

Veuillez agréer Mesdames et Messieurs les Députés et Sénateurs l’expression de nos respectueuses et vigilantes salutations.

Les membres du Bureau de BonSens.org

 

Déclaration de Monsieur Olivier Veran, ministre de la santé

Auteur: librinfo74

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1 commentaire

  1. Ce pass est inacceptable,tout simplement

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