Ils étaient 400 à manifester ce samedi 12 décembre à Annecy contre la loi de sécurité globale.

Rassemblés une nouvelle fois sur le Pâquier, bravant le froid et la pluie, ils étaient environ 400 manifestants à s’opposer à la loi « Sécurité globale ».

Pour éviter de nombreuses prises de parles redondantes, des passages du communiqué de la coordination nationale furent prononcées par la présidente de la LDH, Josette Tardivel.

Puis, trois jeunes représentant l’UNL (Union nationale lycéenne), X.R (extinction Rebellion) et le mouvement « Youth for Climate » exprimèrent à leur manière leur dénonciation des violences policières, mais surtout leur espoir de construire une société anticapitaliste, fondée sur la justice sociale et la solidarité.

Après ces prises de paroles, les manifestants défilèrent dans les rues d’Annecy pour témoigner auprès de la population « qu’une large mobilisation tiendra en échec les velléités totalitaires d’un régime macroniste policier qui provoque la réprobation de nombreux pays dans le monde ».

 

Pour certains, » l’image d’une France pays des droits de l’Homme, est dorénavant salie ».

Auteur: gfumex

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1 commentaire

  1. Pendant ce temps à Paris les forces de l’ordre attaquaient sans discontinuer les manifestants.
    Voir les vidéos « illégalisées » par les lois scélérates votées par ‘NOS’ élus, ‘NOS’ parlementaires …
    On y voit, une fois de plus, les principes démocratiques élémentaires bafoués par le régime en place.
    Comment peut-on même évoquer la notion d’État de droit ?

    Les médias de grand chemin complices d’une fascisation évidente du régime. On parle d’autoritarisme … Quelle retenue !
    Partout des voix s’élèvent contre ces dérives manifestes du pouvoir en place.

    Plus personne ne peut rester indifférent à de telles pratiques devenues courantes, quotidiennes. Une prise de conscience et de position s’impose, NOS MODES DE VIE SONT GRAVEMENT AFFECTÉS, transformés.

    La volonté d’exciter la population afin de fabriquer de la violence (l’envie de tout casser spontanée qui vient chez bcp de gens) est nettement la voie choisie par nos dirigeants.
    Cette provocation claire pourrait leur permettre d’instaurer un état de ‘super urgence’, afin de ‘neutraliser’ sans rendre des comptes, chaque personne dérangeante. Les techniques de surveillance, longuement mises en place, permettent d’agir en toute discrétion.

    C’est une politique de l’exacerbation et de l’exaspération pour assurer l’asservissement.
    Une forme courante du terrorisme d’État : terroriser les populations pour les mâter. Comme il y a peu, avec les GJ.

    Cette défense du pouvoir d’une infime élite du système capitaliste moribond est notre lot ; un moment difficile à passer.

    Seule la non-violence de masse peut s’imposer à un pouvoir si fragile, si illégitime.

    Il nous manque les deux, les masses et la non-violence…
    Mais pour cela il faut du courage et de la concertation.

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