
Les percussions du Burkina Faso
« Vivre comme un arbre, seul et libre. Vivre en frères comme les arbres d’une forêt »

Daniel Yerlikaya
C’est sur cette maxime du poète anatolien,Nazim Hikmet, que Daniel Yerlikaya, président de la Fédération des Amitiés Franco-Etrangères de Haute Savoie, a conclu son discours de bienvenue à cette fête interculturelle qui a réuni dans la salle Martin LUTHER KING à Annemasse de nombreux bénévoles, et une trentaine d’associations de Haute Savoie adhérentes à la fédération. (Lire l’historique)
(Cliquez sur les phrases en gras)
Une journée culturelle bien remplie
L’association région Léman pour les Enfants du Monde , l’ASTI FAVERGES, Agir pour le TOGO, le MRAP, l’association France -Kososo – Nouvel Est, s’étaient associés à ce 50 éme anniversaire de la fédération des amitiés franco étrangères en tenant des stands d’informations.
Sur la journée, des spectacles de musique et de danse se sont succédés en donnant l’occasion au public de voyager
dans des pays aussi divers que la Turquie, l’Espagne, le Kosovo.
Les percussions du Burkina Faso on entrainé le public dans un rythme joyeux et communicatif.
La soirée s’organisa autour d’un repas dansant proposé par l’association « Agir pour le TOGO »
Estelle Bouchet, conseillère départementale sur Annemasse, avait tenue à être présente pour échanger avec les bénévoles et confirmer le soutien du département de la Haute Savoie à cette fédération et les associations adhérentes.
Même s’il y a eu toute l’après midi du va-et-vient, la journée n’a pas battu son plein comme prévu.
Si les militants auraient espéré remplir la salle imposante de Martin Luther King, les bénévoles de la fédération et des associations adhérentes demeurent mobilisés plus que jamais pour le vivre ensemble. 50 ans après sa création, les buts fixés de solidarité à l’origine sont toujours d’actualité à l’heure où l’immigration fait débat à l’assemblée nationale et au Sénat, un an après la promulgation de la loi asile- immigration- intégration.

Les responsables de la Fédération
Un débat à mener dans un contexte de plus en plus hostile
Faire prendre conscience de l’imbrication des différents rapports de domination pour comprendre la complexité du racisme, sa violence destructrice, et la responsabilité des états.
Les bénévoles répondront toujours présents.