Bien sûr, devant la volonté de l’extrême droite israélienne d’éradiquer le peuple palestinien et d’envahir le Liban, le soutien inconditionnel des États-Unis fournisseurs d’armes à Israël et la complicité du président Macron qui reconnaît à Israël le droit de se défendre, les manifestants auraient souhaité se retrouver bien plus nombreux ce samedi 5 octobre à défiler dans les rues d’Annecy.
Même si les 150 manifestants savent qu’ils ne vont pas changer l’ordre mondial, mais, comme l’exprime l’un d’entre eux : ”Le pire serait qu’ils n’y ait personne dans les rues pour manifester notre soutien au peuple palestinien.” :