Si Bernard Bosson accepte être un homme du passé, il considère que Jean-Luc Rigaut sera l’homme du passif
Paraphrasant la cèlèbre répartie de Mitterand à Giscard Destaing, Bernard Bosson considère que Jean-Luc Rigaut se contente d’être un gestionnaire incapable de définir un grand projet ambitieux pour Annecy et son agglomération.
Pour l’ancien maire d’Annecy, en politique, il faut des convictions auxquelles on croit et que l’on défend avec passion.
Le centre de congrès sur la presqu’île d’Albigny, scorie des jeux Olympiques perdus.
Pour Bernard Bosson, avec le projet du centre de congrès sur la presqu’île d’Albigny, on paie le fiasco des jeux Olympiques. Jean-Luc Rigaut s’est entêté dans ce projet alors que l’on savait depuis au moins un an que c’était plié pour Annecy. Sportif de haut niveau, Jean-Luc Rigaut aurait été ébloui et fasciné par ses contacts au plus haut niveau des appareils de l’olympisme mondial.
Le centre de congrès promis à Bernard Accoyer par Jean-Luc Rigaut, est devenu la monnaie d’échange pour la rénovation de Bonlieu.
Pour Bernard Bosson, Denis Duperthuy est l’homme de l’avenir
Bernard Bosson a rendu un vibrant hommage à Denis Duperthuy « celui qui a prononcé un véritable discours politique et de conviction lors de la séance de la C2a le 9 avril 2015 à la salle Météore à Meythet ».
Si Bernard Bosson accepte d’être un homme du passé et Jean-Luc Rigaut l’homme du passif, il qualifie Denis Duperthuy l’homme de l’avenir.
Une façon de transmettre un flambeau… ?