ELECTION DÉPARTEMENTALE : les candidats du Front de Gauche défendent une gauche citoyenne radicale et anti libérale
Ne leur parlez pas « d’extrême gauche ». Les candidats du Front de gauche refusent l’étiquette. Ils revendiquent celle de gauche radicale citoyenne. Une façon de contrecarrer la propagande des partis gouvernementaux et des médias dominants qui stigmatisent les extrêmes en présentant le Front de gauche comme le miroir inversé du Front National. Présents sur les cantons d’Annecy 1, Annecy 2, Annecy-le-Vieux et Seynod,...
« Spartacus et Cassandra » ciné-débat jeudi 12 mars à la Turbine – Cran Gevrier
19H00 : accueil par l’Alterlocal Échanges, musique, buffet 20H00 : film et débat Débat en présence du Collectif Urgence Roms74 Situation des familles Roms à Annecy : scolarisation, intégration… Le film de Ioanis Nuguet (2014) est parrainé par le Festival des Droits de l’Homme qui se déroule jusqu’au 15 mars. Spartacus, jeune Rrom de 13 ans et sa sœur Cassandra, 10 ans sont recueillis dans le chapiteau-squat de...
8 Mars 2015 : Les femmes du continent africain à l’honneur à la salle Honoré de Cran-Gevrier
Comme chaque année, le comité d’action mutualiste « 8 Mars » organise un moment débats/ateliers qui se termine par un repas convivial. Pour cette édition, des femmes du continent africain sont venues à cette rencontre. Étaient aussi présentes des associations de réseau de solidarité comme Artisans du Monde. Ce fut l’occasion d’entendre leurs témoignages, leurs revendications, de s’interroger sur les stratégies...
Comment est née la « journée des droits de la femme ».
La véritable histoire de cette journée provient en réalité du 8 mars 1917, à Petrograd en Russie. Des femmes descendent dans la rue pour soutenir les hommes mobilisés sur le front. Les leaders socialistes y voient le point de départ de la révolution russe. Au début des années 60, pour favoriser l’installation de cette journée, les communistes vont gommer ces racines soviétiques. En 1977, l’ONU proclame le 8 mars journée...
Devant l’arrivée massive de familles kosovars, le Préfet ne peut, ni ne veut assurer l’hébergement de tous.
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Cette nuit, le Préfet de Haute-savoie oblige des enfants kosovars scolarisés à dormir dans les rues d’Annecy.
17 enfants avec leurs familles demandeurs d’asile ne savent pas où aller dormir cette nuit, soit 29 personnes en tout. Arrivés pour la plupart à Annecy début janvier, ces kosovars étaient logés par le 115 au centre d’accueil Georges Bonnet. Sur ordre de la Préfecture, ils en ont été délogés vendredi dernier. Depuis ils errent dans les rues d’Annecy ne sachant pas où aller dormir. Pourtant, certains enfants sont...
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