Comme chaque année, depuis 31 ans, l’Union locale d’Annecy organise les nuits de la colère. Une initiative d’éducation populaire qui veut dépasser la simple conscience syndicale pour s’adresser à tous les salariés, tous les citoyens.
Pour permettre cette mutation, les militants CGT ont tourné leurs regards vers un média populaire que constitue le cinéma. Une approche sociétale qui englobe la vie sociale et affective des femmes et des hommes confrontés aux attaques du patronat, l’abandon des services publics, le bocage des salaires, la montée de l’extrême droite.
Trois films seront projetés avec pour thème la sécurité sociale, la lutte contre l’extrême droite et le maintien de l’emploi.
Une nouveauté cette année avec l’animation de stagiaires du débat sur la protection sociale.
Samia Bruas-Chetibi, secrétaire Générale de l’UL CGT d’Annecy insiste sur cette initiative d’éducation populaire, et regrette les difficultés qu’elle rencontre avec les services de la maire pour bénéficier de l’installation de matériel sur le cercle de l’eau :
