Catherine Pacoret s’inscrit dans les valeurs humanistes chères aux centristes. Une position toujours difficile à tenir avec le choix de soutenir une économie libérale capitaliste, source d’inégalités, où l’aspect humain est, pour la plupart du temps, bafoué par la recherche du profit avant tout.
Coincé entre « d’un côté le Macronisme et de l’autre la NUPES », le centre a la douloureuse tache de trouver des consensus entre deux systèmes que tout oppose. Une difficulté que le centre s’est infligé de tout temps. Dans la grande majorité des cas, le centre a toujours voté à droite.
Une future députée libre de son vote
Catherine Pacoret, si elle est élue, se déclare fidèle aux valeurs inhérentes à l’UDI, son groupe parlementaires, tout en se réservant la liberté de voter selon sa conscience dans l’intérêt des citoyens qu’elle représente.
Pour Catherine Pacoret, l’élu est légitime pour appliquer son programme
Tous les discours des futurs élus est de porter la parole des citoyens avec lesquels ils veulent entretenir des liens étroits. Un discours qui se heurte à la légitimité que les élus de droite revendiquent, comme le souligne Catherine Pacoret : « Un député est élu sur un programme et il a la légitimité pour l’appliquer « .
La retenue collinaire de La Clusaz : un sujet qui dérange
Concernant la retenue collinaire, comme Antoine Armand et Lionel Tardy, Catherine Pacoret a expliqué que la décision revenait aux élus des collectivités locales : « ils sont les mieux placés pour décider des bons choix au service de la population »
