
À l’occasion du rassemblement de ce jeudi 20 janvier à 14h devant la Préfecture – auquel d’autres organisations syndicales et des collègues enseignant·e·s grévistes devraient participer – les journalistes sont invités à une conférence de presse
Ce rassemblement s’inscrit à la suite de la forte mobilisation du jeudi 13 janvier avec un taux de grévistes de 75% et une école sur deux fermée.
Dans son communiqué, le SNUipp demande de « reporter immédiatement les épreuves de spécialités de mars et les organiser plus tard sur la base des programmes prévus et annuler les évaluations de mi-CP. »
Il insiste également sur « la création de tous les postes nécessaires pour assurer les remplacements, bien plus que le recours aux listes complémentaires dans le premier degré annoncées, et de doter les écoles et établissements en matériel de protection en nombre suffisant, en quantité supérieur aux volumes annoncés et y compris pour les élèves. » (…)
20 janvier 2022
l’énergie dépensée à des problèmes spécifiques
est perdue à résoudre un probléme SYSTÉMIQUE :
le capitalisme des ultra-riches se doit de fabriquer surtout bcp des crétins qui se soumettent.
L’école sacrifiée pour dysfonctionner,
comme la SNCF ou la sécu, ou l’administration judiciaire, où les TPE-PME, …
Il n’y a qu’une solution dans ce contexte d’absurdie,
prendre le pouvoir et le rendre démocratique.
C’est difficile, c’est long,
c’est fatiguant, c’est couteux,
bref c’est la poisse
mais c’est la seule solution pour ne plus être traité en bête de somme.
Rappel : PAS un seul des GJ canardé et blessé à VIE – donc pris en principe en flagrant-délit méritant d’être stoppé de toute urgence,
n’a été poursuivi.
Pas accusé, pas condamné, MAIS pas même poursuivi !!!
Imaginez des malfaiteurs non poursuivis mêmes blessés ??
Non, ça n’existe pas.
Donc les GJ ont été canardés sans justification !
Donc de manière illégale
Donc le pouvoir AGIT illégalement
et blesse impunément des citoyens pacifiques.
Ceci a un nom : dictature violente.
Rien à voir avec les propos du pouvoir.