Accueil»Culture»Derrière la violence et le désespoir du film équatorien « Quand mon tour viendra », Jorge Luis Serrano, de l’ambassade d’Équateur revendique le côté lumineux du peuple équatorien
Derrière la violence et le désespoir du film équatorien « Quand mon tour viendra », Jorge Luis Serrano, de l’ambassade d’Équateur revendique le côté lumineux du peuple équatorien